Présentation
- Histoire de la Maison Médicale du Breuil
La Maison Médicale de Senones a ouvert ses portes le 8 avril 1991 à l’initiative de deux médecins et une chirurgienne-dentiste. Elle a été financée par les fonds propres des professionnels et n’a bénéficié d’aucun financement public.
Située au cœur de la ville de Senones, elle est le fruit de la rénovation d’un ancien bâtiment sur le Quai Jules Ferry. C’est un architecte local, originaire de Grandrupt, Jean Marie GOEPPEL qui assurera la maîtrise d’oeuvre de la construction initiale et du premier agrandissement.
Lors de son ouverture en 1991, elle compte trois médecins généralistes, une chirurgien-dentiste, une infirmière et un kinésithérapeute. Une orthophoniste complétera rapidement l’équipe. Deux secrétaires et un agent d’entretien assistent les professionnels libéraux.Un premier agrandissement est entrepris en 1995 pour accueillir de nouveaux professionnels: médecin généraliste, chirurgien-dentiste, kinésithérapeute, infirmière, pédicure-podologue.
Une seconde extension plus importante est réalisée en 2009 sous la conduite de l’entreprise GAGETTA Jean Pierre grâce au rachat de l’ancienne demeure du docteur ROSE Jacques qui jouxte le terrain de la Maison Médicale à l’arrière de l’ancienne synagogue. Désormais ce sont six médecins généralistes, quatre chirurgiens-dentistes, quatre infirmières, trois kinésithérapeutes, un podologue-pédicure, une infirmière d’éducation thérapeutique qui exercent au sein de la structure, secondés par huit salariés: assistante de direction, secrétaires, assistantes dentaires et agents d’entretien.
- Une Maison de Santé pluridisciplinaire
En 2016, la Maison Médicale de Senones dépose un projet médical de territoire à l’ARS, qui est validé et permet la transformation le 1er janvier 2017 de la Maison Médicale en Maison de Santé pluridisciplinaire, composée d’une équipe de professionnels médicaux et paramédicaux libéraux animée par une secrétaire de coordination. .
Les professionnels de santé sont unis par un projet de santé intégrant :
– l’accès aux soins de premiers recours (sans hébergement) et la continuité des soins (large amplitude d’ouverture).
– La coopération en interne avec un travail en équipe pluri-professionnelle comprennant des réunions de synthèse et de coordination, la mise en place de protocoles facilitant et harmonisant la prise en charge des patients atteint de certaines pathologies (diabète, cancer, obésité, addiction, démence,…) et l’utilisation d’un système d’information partagé.
– La coopération en externe avec les établissements de santé et les structures médico-sociales.
– Le développement d’action mettant l’accent sur la prévention et l’information des patients (écrans dans les salles d’attente).
– la formation universitaire (tous les professionnels accueillent des étudiants en stage)